Et si nous changions de regard sur l’échec ? Le parcours d’un entrepreneur est semé d’embûches et il n’est pas rare de devoir pivoter radicalement voire d’abandonner son projet. Alors qu’aux Etats-Unis, l’échec est synonyme d’expérience et d’apprentissage en France il est synonyme d’incompétence. Pourtant, il est essentiel de savoir bien échouer pour mieux rebondir.

« C’est cette force de caractère, ou plutôt cette conviction intime de sa capacité à rebondir, qui permet à un entrepreneur d’entreprendre (…).Et c’est la compétence, l’aptitude qu’il faut encourager à développer chez tous les entrepreneurs. Parce que créer et développer une entreprise n’est jamais un long fleuve tranquille. Il faut être mentalement et psychologiquement prêt à traverser des périodes de doute, voire des échecs complets. Et pour cela, on n’est jamais assez prêt » Isabelle Saladin, serial entrepreneure dans Le Point

Entrepreneurs du changement, vous souhaitez apprendre à tirer parti de vos échecs ? Comment s’y préparer et déculpabiliser pour en faire une force ?

Pour ce cinquième rendez-vous Mouvement UP Factory, organisé en partenariat avec Accenture et GROUPE SOS Pulse, on regardera l’échec sous un autre angle avec Guillaume Mulliez, président de 60 000 rebonds. Créée en 2012, cette association vient en aide aux entrepreneurs qui ont connu la liquidation pour les aider à rebondir professionnellement. Présente partout en France, constituée de bénévoles, cette association œuvre au quotidien aux côtés des entrepreneurs et dans la société civile pour faire changer le regard sur l’échec.