UP Factory

Manager, ça s’apprend et d’autant plus quand on lance son entreprise. Si les premiers temps sont souvent consacrés au développement, au lancement puis à la consolidation de son offre, la question des ressources humaines peut se poser très rapidement. Quelle équipe constituer ? Avec quelle gouvernance ?

Une fois l’équipe constituée, l’enjeu est de taille : gérer les rapports humains pour fédérer autour de son projet. Assumer de nouvelles responsabilités, faire preuve d’autorité mais aussi d’empathie, prendre des décisions RH et tout cela, parfois pour la première fois, tout en continuant à assurer la stratégie de la société.

Entrepreneur du changement, vous n’avez pas tous les outils pour manager vos équipes et vous vous sentez seul face à cette responsabilité ? Vous souhaitez comprendre les mécanismes de réussite ? Venez faire le plein de conseils pour devenir un vrai bon manager de demain.

NOTRE INVITÉE

Emmanuelle Duez est une entrepreneuse chevronnée. Elle a fondé en 2012 The Boson Project, une société de conseil en excellence humaine, et y a depuis multiplié les initiatives.

Cette aventure entrepreneuriale, elle l’a vu grandir, d’une alliance de deux jeunes femmes pleines bagout à une équipe solide d’une vingtaine de collaborateurs issus de formations et d’univers différents. Et ce sans compter le large écosystème de penseurs et faiseurs qui gravitent autour du projet. Cette boîte, elle l’a accompagnée avec ses tripes, faisant évoluer la gouvernance au gré des enjeux stratégiques et surtout en se faisant le gardien d’un état d’esprit et d’une éthique sur lesquels elle n’a voulu faire aucune concession. Chez Emmanuelle, l’entrepreneuriat est au service de ses convictions, pas l’inverse.

Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, Youtube et maintenant TikTok… Quand on lance son projet sans être expert en communication, il est parfois difficile de s’y retrouver dans la jungle des réseaux sociaux. Lequel choisir en fonction de son objectif ? Quel contenu poster ? Combien de temps y passer chaque semaine ? Autant de questions se présentent à tout entrepreneur et qui viennent s’ajouter à tous les autres pans de la gestion d’entreprise.

Alors, comment exploiter les réseaux sociaux quand on débute dans l’entrepreneuriat et qu’on n’y connaît rien ? C’est le thème de ce nouveau rendez-vous UP Factory, organisé en partenariat avec Accenture et GROUPE SOS Pulse.

A cette occasion, nous recevons Laura Largillet, directrice d’Artora, une jeune entreprise qui utilise la médiation culturelle comme un vecteur de lien social. Issue d’une formation de juriste et d’Histoire de l’Art, Laura a dû apprendre de manière autodidacte à utiliser les réseaux sociaux pour développer son business. Elle nous partagera son expérience, ponctuée de réussites et d’échecs, et tentera de nous donner des conseils pour apprivoiser ces outils aujourd’hui indispensables.

Notre invitée

Laura Largillet est directrice d’ARTORA. Cette start-up culturelle est née de la rencontre de trois passionnés sur les bancs de l’école du Louvre en 2018. Leur constat : l’art est souvent perçu comme lointain voire inaccessible, alors qu’il peut être un outil de lien pour rapprocher les générations ou passer un moment convivial. Leur but : que chacun puisse apprendre, échanger, se rencontrer et débattre autour de l’art comme dans une agora moderne. Ils proposent des animations culturelles intergénérationnelles dans les EHPAD ainsi que des visites de musées et conférences pour les entreprises.

A l’arrivée du Covid-19 et du confinement, comme pour beaucoup d’acteurs de la culture, toutes leurs interventions ont été annulées. Ils ont saisi cette occasion pour développer leur présence sur Facebook et Instagram en proposant du contenu pédagogique autour de leur cœur de métier. Une expérience qui leur a permis de développer leur communauté, leur visibilité et d’obtenir de belles retombées !

UP FACTORY

UP Factory, c’est le programme de pré-incubation qui détecte les nouveaux talents, impulsé par MOUVEMENT UP et Accenture, en collaboration avec le GROUPE SOS Pulse. Découvrez les lauréats 2020, 9 projets à suivre de très près cette année !

Et si nous changions de regard sur l’échec ? Le parcours d’un entrepreneur est semé d’embûches et il n’est pas rare de devoir pivoter radicalement voire d’abandonner son projet. Alors qu’aux Etats-Unis, l’échec est synonyme d’expérience et d’apprentissage en France il est synonyme d’incompétence. Pourtant, il est essentiel de savoir bien échouer pour mieux rebondir.

« C’est cette force de caractère, ou plutôt cette conviction intime de sa capacité à rebondir, qui permet à un entrepreneur d’entreprendre (…).Et c’est la compétence, l’aptitude qu’il faut encourager à développer chez tous les entrepreneurs. Parce que créer et développer une entreprise n’est jamais un long fleuve tranquille. Il faut être mentalement et psychologiquement prêt à traverser des périodes de doute, voire des échecs complets. Et pour cela, on n’est jamais assez prêt » Isabelle Saladin, serial entrepreneure dans Le Point

Entrepreneurs du changement, vous souhaitez apprendre à tirer parti de vos échecs ? Comment s’y préparer et déculpabiliser pour en faire une force ?

Pour ce cinquième rendez-vous Mouvement UP Factory, organisé en partenariat avec Accenture et GROUPE SOS Pulse, on regardera l’échec sous un autre angle avec Guillaume Mulliez, président de 60 000 rebonds. Créée en 2012, cette association vient en aide aux entrepreneurs qui ont connu la liquidation pour les aider à rebondir professionnellement. Présente partout en France, constituée de bénévoles, cette association œuvre au quotidien aux côtés des entrepreneurs et dans la société civile pour faire changer le regard sur l’échec.

Se lancer dans l’aventure entrepreneuriale est généralement source d’émotions fortes. Parfois positives quand on a atteint un objectif ou qu’une bonne nouvelle arrive dans la boîte mail. Mais aussi négatives quand on doit prendre des décisions importantes ou gérer l’incertitude, amplifiée par la crise sanitaire et ses conséquences économiques.

Si toutes ces émotions, au moment où vous vous lancez dans l’entrepreneuriat, sont tout à fait normales, elles peuvent être difficiles à gérer. Selon un sondage Opinion Way de 2016, 52% des entrepreneurs disent souffrir d’anxiété.

Entrepreneur du changement, vous avez besoin de rester concentré(e) et reposé(e) ? Vous souhaitez canaliser vos peurs pour en faire un moteur ? Cet événement est fait pour vous. Venez faire le plein de conseils pour apprendre à ralentir, vous préserver pour, in fine, mieux vous lancer !

Pour ce quatrième rendez-vous Mouvement UP Factory, organisé en partenariat avec Accenture et GROUPE SOS Pulse, venez à la rencontre d’Alice Vivian. Cette entrepreneure passionnée de voyage et de yoga a fondé mojom, une organisation qui aide les entreprises et collaborateurs à décélérer. Elle nous expliquera l’importance d’apprendre à ralentir et se préserver quand on entreprend. Cet atelier sera complété de quelques exercices simples et pratiques pour apprendre à gérer son stress et évacuer les tensions.

Pour ce podcast Mouvement UP Factory, Diane Scemama, cofondatrice de DreamAct, livre de précieux conseils pour tous ceux qui ambitionne de se lancer sur un marché dominé par des géants.